Latifa : Nouvelles Perspectives Artistiques et Collaboration Audacieuse avec Ziad Rahbani
L’artiste tunisienne Latifa se prépare à lancer sa troisième chanson de l’album « Latifa 2024 », après avoir déjà sorti les chansons « Tab Aho » et « Mon Amour ».
De plus, elle prépare un nouvel album en collaboration avec l’artiste et compositeur Ziad Rahbani, comme elle l’a révélé dans une interview avec « Al Arabiya Net ».
On se souvient que Latifa avait précédemment interprété la chanson « Bens El-Jaw » avec des paroles et une musique de Ziad Rahbani, qu’elle considère comme une « école artistique » et dont elle est fière d’être devenue « ne serait-ce qu’une petite partie de son histoire », selon ses propres termes.
Elle a confirmé que l’album qu’elle prépare avec Rahbani sera publié l’hiver prochain.
Latifa a souligné que l’audace était présent dans ses anciennes chansons telles que « Hobbek Hadi », « Ana Ma Tenesesh », et « Wadieh », entre autres.
Elle a ajouté que sa collaboration avec Ziad Rahbani signifierait sans doute une plus grande dose d’audace.
Tout au long de sa carrière, l’artiste a interprété des chansons dans divers dialectes, passant du libanais (« Bens El-Jaw ») à l’égyptien (« Ya Ghadar », « Baheb Fegrak », etc.), en passant par le tunisien (« Khallini ») et le dialecte du Golfe (« Mamlouh El-Dafa »).
Elle a réussi dans toutes ces interprétations, ce qui lui a permis de se constituer une large base de fans à travers le monde arabe.
Elle a également mentionné que son public du Golfe l’avait encouragée à essayer le chant dans ce dialecte. Elle a affirmé être une amatrice du style musical du Golfe et a réussi à laisser une empreinte auprès de ce public.
Latifa a partagé son expérience de chanter en Arabie saoudite lors d’un concert « Trio Night », où elle a particulièrement apprécié la présence de nombreux autres artistes. Elle a souligné l’harmonie et l’atmosphère positive qui régnaient entre les artistes sur scène, en particulier lorsqu’elle a interprété une séquence musicale aux côtés de Nancy Ajram, Nawal El Zoghbi, et Georges Wassouf.