Dhafer L’Abidine représente la Tunise avec « À mon fils » au Cairo International Film Festival
Les échos du cinéma tunisien ne cessent de retentir au-delà des frontières, et l’un de ses fils les plus talentueux, Dhafer L’Abidine, confirme à nouveau sa maîtrise du 7e art. Après le succès indéniable de son premier long-métrage « Ghodwa », l’artiste tunisien revient avec « À mon fils – To My Son« , une œuvre attendue qui promet d’ajouter une nouvelle dimension à sa carrière déjà éclatante.
Dhafer L’Abidine avait déjà annoncé ce projet depuis la projection de son premier film. Il avait précisé qu’il comptait réaliser un film sans dévoiler son contenu ou son thème. Cependant, l’acteur traite de sujets sensibles qui touchent la famille comme il l’avait déjà montré dans son premier long-métrage.
En participant à la 45e édition du Festival international du film du Caire, Dhafer L’Abidine attire une fois de plus l’attention sur son dynamisme et son talent sur la scène internationale. « À mon fils », dont les événements tournent autour d’un père et son fils revenant en Arabie saoudite après une tragique séparation, est une histoire qui promet d’émouvoir son public tout en démontrant la finesse de la réalisation de L’Abidine.
Dhafer, bien qu’étant un acteur accompli, n’a pas tardé à montrer qu’il possédait également un talent exceptionnel derrière la caméra. « Ghodwa », son premier film, avait été accueilli avec admiration lors de sa présentation à la 43e édition du Festival international du film du Caire. Cette œuvre, qui fut sa première incursion dans la réalisation cinématographique, lui a valu la prestigieuse récompense de l’Union internationale de la presse cinématographique, confirmant ainsi son statut d’étoile montante de la réalisation en Tunisie.
Le cinéma tunisien, fort de ses talents et de son histoire riche, trouve en Dhafer L’Abidine l’un de ses ambassadeurs les plus éloquents. À l’heure où le paysage cinématographique arabe est en pleine évolution, des artistes comme L’Abidine apportent une touche tunisienne incontestable, affirmant la position de la Tunisie comme pilier du cinéma dans la région.
Alors que « À mon fils » s’apprête à être projeté dans différents cinémas arabes, la communauté artistique tunisienne, ainsi que les cinéphiles du pays, attendent avec impatience de découvrir ce nouveau joyau signé Dhafer L’Abidine. Une chose est sûre : l’avenir du cinéma tunisien semble prometteur, et Dhafer L’Abidine y joue un rôle de premier plan.
