« Kafishanta » par Faten Fazaa, une ode à la passion et à la maturité
L’univers littéraire arabophone s’apprête à accueillir une nouvelle perle en son sein. Publié par la prestigieuse maison d’édition Dar Al Sindbad, le dernier-né de Faten Fazaa, intitulé « Kafishanta », est déjà sur toutes les lèvres. Succédant à son best-seller ‘Char’ al-Hobb’, ce nouvel opus promet de faire des éclats.
À l’image de cette passion qui anime chaque auteur, Faten Fazaa nous offre une œuvre qu’elle décrit comme occupant « la plus grande place dans son cœur ». Une déclaration forte qui suscite l’attente et la curiosité. Ce livre, qu’elle a tendrement comparé à « un fils préféré », est le fruit de nombreuses années de réflexion et de maturation littéraire.
La sortie officielle est prévue pour le mercredi 14 octobre. Cependant, l’effervescence autour de ce livre est telle que l’auteure a dû tempérer son impatience, à l’instar de ces enfants fébriles avant l’Eid, qui trépignent d’anticipation.
Le succès attendu pour « Kafishanta » ne semble pas être le fruit du hasard. Faten Fazaa confie que ce livre l’a menée vers de nouveaux horizons créatifs. Atteignant un cap impressionnant avec 1000 éditions, cette œuvre est le reflet d’une évolution, d’une maturité acquise et d’une maîtrise stylistique remarquable.
Pour célébrer cette sortie, une édition spéciale en or est prévue, accompagnée d’un cadeau pour les fidèles lecteurs. La séance de dédicace, prévue le 14 octobre à La Goulette, s’annonce déjà comme un événement incontournable du calendrier culturel. Point d’invitations formelles, Faten Fazaa opte pour une approche plus intime, invitant verbalement chacun de ses lecteurs à cet événement, les considérant comme sa propre famille.
Pour les chanceux qui pourront y assister, l’auteure a un petit conseil vestimentaire pour les dames : un joli rouge, symbole d’amour et de passion. Un clin d’œil, sans doute, à cette même passion qui anime son écriture.