Prévisions de séisme déconcertantes de Frank Hoogerbeets

Au cours des derniers jours, des prévisions alarmantes concernant un séisme majeur ont circulé, émanant du sismologue néerlandais Frank Hoogerbeets. Celui-ci a établi un lien entre les mouvements et les alignements planétaires dans l’espace et leur influence potentielle sur les activités sismiques sur Terre, allant des tremblements de terre légers aux séismes majeurs.

Il y a quelques jours, Frank Hoogerbeets a renouvelé ses avertissements concernant un séisme puissant, pouvant atteindre une magnitude de 8,5 sur l’échelle de Richter, suivi de secousses d’une intensité de 6 degrés, prévues entre le 26 et le 28 septembre. Hoogerbeets a partagé ces alertes émises par l’organisme géologique qu’il suit, le ssgeos, sur la plateforme « X » (anciennement Twitter), avertissant qu’une « conjonction de Mars, de Mercure et de Jupiter le 22 septembre pourrait entraîner un séisme majeur » avec une période prévue entre le 23 et le 24 septembre. L’avertissement a également suggéré que des « groupes de secousses puissantes » pourraient survenir entre le 26 et le 28 septembre, atteignant potentiellement une magnitude de 6 sur l’échelle de Richter.

Les avertissements de Frank Hoogerbeets ont suscité l’inquiétude à l’échelle mondiale, notamment en raison de sa précision dans la prédiction de séismes ces derniers mois. Il est important de noter que ses prévisions sont basées sur sa théorie personnelle selon laquelle les mouvements planétaires et leurs alignements pourraient influencer les événements sismiques.

Au Japon, il existe une croyance selon laquelle le pays est frappé par un séisme majeur une fois tous les 100 ans, provoquant d’immenses dégâts et un nombre considérable de victimes. On estime que Tokyo, la capitale densément peuplée abritant plus de 38 millions d’habitants, est particulièrement vulnérable à de tels séismes.

Les experts japonais estiment qu’un séisme majeur, d’une magnitude prévue de 9,1, frappera la mer de Chine méridionale entre 2030 et 2040, fondé sur la théorie des plaques tectoniques. Selon cette théorie, la Terre est divisée en six plaques tectoniques principales, dont les mouvements constants, à un rythme d’environ 1 cm à 10 cm par an, entraînent des interactions et des collisions susceptibles de provoquer des tremblements de terre de différentes intensités.

Les plaques tectoniques principales comprennent la plaque pacifique, la plaque eurasienne, la plaque africaine, la plaque américaine, la plaque indienne et australienne, ainsi que la plaque antarctique.

Ce qui est frappant, c’est que la position relative de ces plaques n’est pas statique, elles se déplacent constamment et interagissent les unes avec les autres, donnant lieu à des activités sismiques. Le point de rencontre de la plaque pacifique avec d’autres plaques, par exemple, crée ce qu’on appelle « l’anneau de feu du Pacifique », une zone hautement sismique qui englobe environ 80% de tous les séismes mondiaux.

Contrairement à la théorie de Frank Hoogerbeets, qui relie les mouvements planétaires aux tremblements de terre, les géologues et les sismologues rejettent catégoriquement cette notion. Ils insistent sur l’impossibilité de prédire les tremblements de terre, mettant en avant l’importance de la recherche scientifique approfondie pour comprendre les mécanismes sismiques.

Néanmoins, les inquiétudes liées aux prévisions sismiques persistent, rappelant la vulnérabilité des zones exposées aux activités sismiques majeures, ainsi que la nécessité de la préparation et de la vigilance face aux menaces naturelles qui planent sur notre planète. Restez à l’écoute pour les développements futurs de cette histoire intrigante.

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