Meriem Debbagh se confie sur son séjour en prison

Meriem Debbagh, l’ancienne chroniqueuse de l’émission « Bas les Masques », a fait sa première apparition télévisée depuis sa sortie de prison, où elle a purgé une peine de 40 jours pour diffamation. Invitée sur le plateau de « Fekret Sami Fehri », animé par Hedi Zaiem, elle a raconté son expérience carcérale et sa relation conflictuelle avec l’instagrammeuse Hanen Eleuch, qui avait porté plainte contre elle.

Meriem Debbagh a exprimé ses regrets pour la vidéo qu’elle avait diffusée sur les réseaux sociaux, dans laquelle elle insultait Hanen Eleuch, qui avait révélé à la télévision des détails de sa vie privée. Elle a demandé pardon uniquement aux jeunes qui ont pu être choqués par ses propos, et a assuré qu’elle avait payé sa dette envers la justice. Elle a également expliqué que Hanen Eleuch avait retiré sa plainte, mais en imposant des conditions qu’elle n’a pas voulu divulguer. Cependant, cette démarche était inutile étant donné que le juge avait déjà prononcé sa peine.

Meriem Debbagh a affirmé qu’elle était amie avec Hanen Eleuch avant que celle-ci ne la trahisse en dévoilant un secret qu’elle devait garder. Elle a dit qu’elles avaient l’habitude de voyager et de manger ensemble, et qu’elle ne comprenait pas son geste. Elle a aussi accusé Hanen Eleuch d’avoir souhaité qu’elle soit emprisonnée, et de ne pas avoir accepté de dialoguer avec elle avant le procès.

Meriem Debbagh a ensuite évoqué son séjour en prison, qu’elle a décrit comme une épreuve difficile mais qui lui a permis de changer et de mûrir. Elle a dit qu’elle avait noué des amitiés avec d’autres détenues, avec qui elle compte rester en contact. Elle a remercié les personnes qui l’ont soutenue, notamment sa famille, ses avocats et ses fans. Elle a aussi présenté ses excuses à Samir Elwafi, le présentateur à qui elle a souhaité la prison mais lors de son incarcération, il a démontré un soutien auquel elle ne s’attendait pas.

A peine l’émission terminée, Samir Elwafi a salué la nouvelle Meriem Debbagh.