Ramadan 2024 : Tamer Hosny apporte des clarifications sur la controverse publicitaire
L’artiste égyptien Tamer Hosny s’est retrouvé au centre d’une controverse suite à sa participation à une publicité pour la marque Chipsy. Accusé par certains de promouvoir une entreprise aux liens sionistes présumés, Hosny a vu une chute drastique de sa popularité sur les réseaux sociaux, perdant des millions de followers en quelques jours.
La publicité en question, qui faisait partie des campagnes du Ramadan 2024, montrait Hosny dans le rôle du musaharati, chantant et dansant dans les rues pour célébrer l’esprit du Ramadan. Cependant, la réaction négative ne s’est pas fait attendre, avec une campagne de boycott et des appels à ne plus suivre l’artiste sur les plateformes sociales.
Face à l’ampleur de la polémique, Tamer Hosny a pris la parole pour défendre son intégrité et son engagement envers la cause palestinienne. Il a expliqué avoir signé un contrat avec la société égyptienne Chipsy il y a deux ans, soulignant que cette dernière utilise des pommes de terre cultivées en Égypte et que les produits sont destinés exclusivement au marché égyptien. En réponse aux accusations, il a publié un document pour attester de ses affirmations et a réitéré son soutien indéfectible à la cause palestinienne, déclarant que son dévouement ne saurait être remis en question.
Cette affaire met en lumière la responsabilité sociale des figures publiques et l’impact que peuvent avoir leurs choix professionnels sur leur image.