Attention : Une version dangereuse de WhatsApp Pink se propage parmi les utilisateurs d’Android !

Actuellement, une fausse version de l’application WhatsApp circule parmi les utilisateurs d’Android, appelée « WhatsApp Pink ». Cette version contient des logiciels malveillants, selon les révélations de la police de la cybersécurité de Mumbai, en Inde.

L’application « WhatsApp Pink » s’est propagée en se faisant passer pour une nouvelle version de l’application populaire, avec un design différent. Elle est promue via des messages prétendant être une nouvelle version de l’application avec une interface rose, contrairement à l’apparence traditionnelle de l’application sur Android, accompagnée d’un lien de téléchargement provenant de sites suspects plutôt que du Google Play Store.

Selon les tweets publiés par la police de Mumbai sur Twitter, cette application n’est rien d’autre qu’une version modifiée de WhatsApp, avec une interface en rose, contrairement à l’apparence habituelle de l’application. Elle affiche également des publicités gênantes lors de son utilisation.

En arrière-plan, l’application malveillante installe des logiciels malveillants sur l’appareil de la victime, permettant aux pirates d’accéder à des données personnelles et sensibles telles que des photos, des messages et des contacts.

Cette application malveillante suit une stratégie courante pour se propager et cibler davantage d’utilisateurs en envoyant des messages attrayants contenant un lien de téléchargement à partir des contacts de la victime, les incitant ainsi à télécharger l’application. Cela permet de cibler de nouvelles victimes à nouveau.

Pour se protéger contre de telles applications, il est recommandé de ne télécharger aucune application ou mise à jour sur les appareils Android, sauf à partir du Google Play Store officiel.

Il convient de noter que Meta, la société propriétaire de WhatsApp, insiste toujours sur la nécessité de ne pas utiliser des versions non officielles de WhatsApp, telles que des applications développées par des tiers. L’entreprise les décrit comme des « fausses applications WhatsApp développées par des entités externes » et souligne qu’elle ne prend pas en charge ces applications en raison de l’incertitude quant à leurs pratiques de sécurité.

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